Leurs rêves se dissipent en ne laissant que le goût amer d’avoir approché sans attraper leurs doubles, leur renvoyant l’écho dissonant de leur infinie lassitude, méditant sur leurs vies concentrationnaires propices aux épidémies de songes.
Esseulés dans des lieux où s’exercent dogmatiquement la norme de la fête et l’obligation du bonheur formaté, ils errent et se perdent à la poursuite d’une illusion pré-vendue sans cesse fuyante.
Se perdre à la recherche du bonheur de l’autre.